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"La Malédiction du serpent fait honneur à la renommée de la série ! Que vous soyez fan des Chevaliers de Baphomet ou simplement curieux, ne ratez pas cet excellent "point & click" et son humour ravageur. "
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Les Chevaliers de Baphomet 5
La Malédiction du serpent

Issus de l'univers PC, « Les Chevaliers de Baphomet » reviennent avec un cinquième opus. Déjà connu sur Android, iOS, PC, Mac, PlayStation4, Xbox One et PS Vita, ce sympathique "Point & Click" de Revolution Software est désormais disponible sur Nintendo SWITCH. L'occasion de faire travailler vos méninges dans une aventure riche en couleurs.

Georges et Nico reprennent du service pour une nouvelle aventure qui les lance - dès l'introduction - sur les traces d'un voleur de tableaux. Plus qu'une simple œuvre d'art, c'est une véritable porte vers l'enfer qu'ils doivent retrouver ! Après une superbe introduction, ce nouvel épisode - optimisé pour la Nintendo SWITCH -, démarre en trombe avec un vol doublé d'un meurtre. Tout commence à Paris, dans une petite galerie d'art assurée par la compagnie qui emploie ce bon vieux Georges Stobbard. Visiblement, il a toujours le chic pour se trouver au mauvais endroit au mauvais moment ! Alors qu'il assiste à une exposition avec son amie Nicole Collard, un malfrat dérobe un tableau, pistolet au poing, et repart après avoir logé une balle dans la poitrine du propriétaire des lieux. Le patron de Georges n'étant pas du genre commode, il va devoir retrouver le tableau s'il veut sauver son emploi. Nicole Collard, toujours à l'affût d'un scoop, saute sur l'occasion pour mener l'enquête avec lui. Car le tableau volé, "La Maledicció", est entouré de mystère ! Il jouerait un rôle crucial dans un complot gnostique. Certains prétendent qu'il est l'œuvre du Malin et permettrait d’entrer en contact avec Lucifer en personne. Dommage que le jeu soit découpé en deux épisodes. Car si le scénario met l'eau à la bouche, la fin du premier volet nous laisse un peu sur notre faim. Certes, il nous fait visiter Paris et Londres, découvrir qui est derrière le vol du tableau, et la symbolique de ce dernier, mais pose plus de questions qu'il ne donne de réponses. Bref, si cette première partie manque un peu de dépaysement, elle donne surtout envie de voir la suite. Sans être révolutionnaire, la « Malédiction du serpent » repose sur un gameplay solide et efficace : parler aux bonnes personnes, trouver des objets, les associer si nécessaire, etc. Les habitués des point & click se retrouveront donc en terrain connu, avec quelques passages un peu plus originaux (bricoler un boîtier électrique, percer le code permettant d'activer un étrange appareil, ou encore concevoir un déguisement convaincant avec les moyens du bord). La difficulté est globalement bien dosée, même si un peu plus de challenge aurait été bienvenu. Certaines énigmes se montrent malgré tout particulièrement retorses ! Comme ce passage où vous devez trouver la combinaison en cyrillique ouvrant le compartiment secret d'un bureau. Si l’on peut regretter qu'aucun bouton ne permette de révéler toutes les interactions possibles à l'écran, le titre propose en revanche un système d'indices bien pratique. Les premiers vous aiguilleront vers la solution et les derniers vous la révéleront carrément. Vous pouvez accéder aux indices à tout instant et les utiliser comme vous le souhaitez. Ainsi vous n’êtes jamais complètement bloqué.

Une ambiance du feu de Dieu !

Les équipes de Revolution Software maîtrisent parfaitement les mécaniques du genre et savent ficeler des énigmes bien pensées et logiques ! Le tout, servi par des dialogues bien écrits et bourrés d'humour, une des marques de fabrique de la série. Comme sa belle brochette de personnages ! Quelle joie de revoir des têtes familières (à l’exemple du sergent Moue ou de Lady Piermont ) et de faire connaissance avec les petits nouveaux. En tête de liste : l'inspecteur Navet, véritable empêcheur de tourner en rond, hautain et borné à souhait ! Vous allez adorer le détester... De son côté, le garçon de café révolutionnaire qui ne supporte pas les "cappuccinos" et les "macchiatos" fait fort avec ses répliques désinvoltes. Alors, préparez-vous à faire des rencontres étonnantes parce que des hurluberlus de cet acabit vous allez en croiser un petit paquet ! L'ambiance de ce nouvel épisode respecte parfaitement l'esprit de ses aînés. Sur le plan technique, la seconde partie n'est pas du même niveau, mais l'ambiance générale reste très correcte. L'optimisation visuelle pour ce portage Switch reste est légère. Sortie en 2013 sur PC, "Les Chevaliers de Baphomet : La Malédiction du serpent" offrait déjà des graphismes honorables. L'esprit BD fait mouche dès les premières minutes de jeu. Sur nouvelles consoles, ce "Point & Click" apporte un peu de sang neuf. Commercialisées pour une trentaine d'euros, ces versions consoles constituent une valeur sûre pour tous les fans de la série et aficionados des jeux d'aventure à l'ancienne. Pour notre part, nous le recommandons chaleureusement pour l’ambiance et la réalisation audiovisuelle. Malgré tout, la prise en main à la manette est forcément moins pratique que sur PC ou tablette (Android / iOS) et la qualité des parties une et deux n'est pas uniforme. Le sachant, et vu le prix et l'efficacité du titre de Revolution Software, vous serez réellement dépaysé par cette ambiance BD riche en couleurs.

Geek4Life
Graphismes : 17/20

Le titre nous offre une bonne claque visuelle dès la scène d'introduction, tout simplement superbe ! Les personnages sont bien modélisés et les décors fourmillent de détails. Les versions PS4 et Xbox One bénéficient de légères optimisations visuelles et, dans l'ensemble, l'esprit BD fait mouche, comme sur les autres supports où le jeu était déjà disponible.

Gameplay & prise en main : 16/20

Facile à prendre en main, le gameplay se montre simple et efficace. Les énigmes sont bien construites, avec une progression nous évitant d'inutiles allers et retours, afin de nous laisser nous concentrer sur le plus important. Pour ces versions consoles, le maniement à la manette est un peu moins intuitif que sur PC ou tablette, mais ne pose aucun réel problème.

Musique et bruitages : 16/20

Comme avec les autres versions déjà disponibles, l'ambiance sonore est excellente avec des doublages français de grande qualité (ce sont toujours les mêmes comédiens). Les musiques envoûtantes sauront vous séduire à coup sûr.

Durée de vie : 16/20

La durée de vie se situe dans la moyenne des "point & click". Comptez entre 7 et 8 heures de jeu pour voir la fin du premier volet et à peu près la même durée pour le second. Vu le prix de lancement sur SWITCH (30 €), le rapport qualité/prix est honorable.

Note pour ce test : 16/20

« La Malédiction du serpent » fait honneur à la renommée de la série ! Que vous soyez fan des Chevaliers de Baphomet ou simplement curieux, ne ratez pas cet excellent "point & click" et son humour ravageur. Avec cette version Nintendo Switch, commercialisées à prix réduit dès le lancement, vous n'aurez plus d'excuse pour passer à côté...

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